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Résumé:
La presse en parle...
Avec ce quatrième roman, sombre,
planté dans une nature hostile et sublime, Sandrine
Collette explore une relation familiale terrible, et la
rédemption, possible ou non, d'un enfant qui a
gardé son humanité. Depuis Des NÅ“uds
d’acier, Grand Prix de littérature policière,
l'auteur « confirme avec éclat qu’elle a tout
d’une romancière accomplie. » (François
Busnel, L’EXPRESS)
LIRE : " Il reste la poussière a des airs de
tragédie faulknérienne en pleine touffeur
argentine. Une mécanique implacable sur la cruauté
et la rédemption, à l'écriture tout en
sécheresse."
Le Cercle Polar Télérama : "Sandrine Collette
réussit un roman faulknérien magnifique, une fable,
un conte noir. L’écriture est dégraissée
et pourtant charnelle. A la toute fin, l’auteur nous
accordera peut-être une lueur d’espoir. Comme une
respiration dans ce monde d’indifférence où
les bêtes comptent plus que les hommes."
Patagonie. Dans la steppe balayée de vents
glacés, un tout petit garçon est poursuivi par
trois cavaliers. Rattrapé, lancé de l’un
à l’autre dans une course folle, il est jeté
dans un buisson d’épineux.
Cet enfant, c’est Rafael, et les bourreaux sont
ses frères aînés. Leur mère ne dit rien,
murée dans un silence hostile depuis cette terrible nuit
où leur ivrogne de père l'a frappée une fois
de trop. Elle mène ses fils et son élevage
d’une main inflexible, écrasant ses garçons
de son indifférence. Alors, incroyablement seul, Rafael
se réfugie auprès de son cheval et de son chien.
Dans ce monde qui meurt, où les petits
élevages sont remplacés par d’immenses
domaines, l’espoir semble hors de portée. Et
pourtant, un jour, quelque chose va changer. Rafael
parviendra-t-il à desserrer l’étau de terreur
et de violence qui l’enchaîne à cette famille
?