Collection: Livre 14 dans la collection Erlendur Sveinsson
Étiquettes: Policier - Thriller, Lang:fr
Résumé:
Reykjavík, 1979. Le corps d'un homme vient
d'être repêché dans le lagon bleu, qui n'est
pas encore aussi touristique qu'aujourd'hui. La victime
serait tombée d'une très grande hauteur,
peut-être a-t-elle été jetée d'un avion.
En découvrant qu'il s'agit d'un ingénieur qui
travaille à la base américaine de Keflavik,
l'attention de la police se tourne vers de mystérieux
vols secrets effectués entre le Groenland et l'Islande.
Les autorités américaines ne sont pas prêtes
à coopérer et font même tout ce qui est en
leur pouvoir pour empêcher la police islandaise de faire
son travail. Conscients des risques qu'ils prennent, Erlendur
et Marion Briem poursuivent leur enquête avec l'aide
d'un officier de la base. En parallèle, Erlendur
travaille sur une vieille affaire non résolue : une
jeune fille disparue sur le chemin de l'école, quarante
ans plus tôt. Les témoins disent qu'elle sortait
avec un garçon de Camp Knox, un quartier pauvre, où
les gens vivent dans les baraquements abandonnés par les
soldats américains après l'occupation de l'Islande.
Le petit ami ne sera jamais retrouvé et les parents
mourront sans savoir ce qu'il est advenu de leur fille.
Erlendur est contacté par une tante qui lui demande de
trouver la vérité. Erlendur a trente ans et vient
de divorcer. Le personnage est plus jeune, plus ouvert et
bien moins désillusionné et sombre que dans
l'avenir que nous lui connaissons. Il travaille depuis peu
à la brigade d'enquêtes criminelles sous les ordres
de Marion Briem et ne cache pas ses positions contre la
présence américaine sur le sol islandais.
Indridason construit un univers particulier, un personnage
littéraire de plus en plus complexe ; peu à peu le
roman noir est absorbé par la littérature et la
qualité de l'écriture. ** Reykjavík, 1979. Le corps d'un homme vient
d'être repêché dans le lagon bleu, qui n'est
pas encore aussi touristique qu'aujourd'hui. La victime
serait tombée d'une très grande hauteur,
peut-être a-t-elle été jetée d'un avion.
En découvrant qu'il s'agit d'un ingénieur qui
travaille à la base américaine de Keflavik,
l'attention de la police se tourne vers de mystérieux
vols secrets effectués entre le Groenland et l'Islande.
Les autorités américaines ne sont pas prêtes
à coopérer et font même tout ce qui est en
leur pouvoir pour empêcher la police islandaise de faire
son travail. Conscients des risques qu'ils prennent, Erlendur
et Marion Briem poursuivent leur enquête avec l'aide
d'un officier de la base. En parallèle, Erlendur
travaille sur une vieille affaire non résolue : une
jeune fille disparue sur le chemin de l'école, quarante
ans plus tôt. Les témoins disent qu'elle sortait
avec un garçon de Camp Knox, un quartier pauvre, où
les gens vivent dans les baraquements abandonnés par les
soldats américains après l'occupation de l'Islande.
Le petit ami ne sera jamais retrouvé et les parents
mourront sans savoir ce qu'il est advenu de leur fille.
Erlendur est contacté par une tante qui lui demande de
trouver la vérité. Erlendur a trente ans et vient
de divorcer. Le personnage est plus jeune, plus ouvert et
bien moins désillusionné et sombre que dans
l'avenir que nous lui connaissons. Il travaille depuis peu
à la brigade d'enquêtes criminelles sous les ordres
de Marion Briem et ne cache pas ses positions contre la
présence américaine sur le sol islandais.
Indridason construit un univers particulier, un personnage
littéraire de plus en plus complexe ; peu à peu le
roman noir est absorbé par la littérature et la
qualité de l'écriture. Arnaldur Indridason est né à Reykjavík en
1961. Diplômé en histoire, il est d'abord
journaliste et critique de films puis il se consacre à
l'écriture à partir de 1997. Il est l'un des
écrivains de romans noirs les plus connus en Islande et
dans les 37 pays où ses livres sont traduits. Il a
reçu le prix Clef de verre du Skandinavia
Kriminalselskapet à deux reprises : en 2002, pour La
Cité des jarres, et en 2003, pour La Femme en vert. Son
roman L'Homme du Lac a reçu le Prix du Polar
européen Le Point 2008 et La Femme en vert le Grand Prix
des lectrices de Elle Policier 2007 ainsi que le Prix du
livre Insulaire Fiction 2006. Arnaldur Indridason a
également reçu le Prix d'honneur du festival les
Boréales en 2011 et le prix espagnol RBA du roman noir
en 2013. Présentation de l'éditeur
Biographie de l'auteur