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Résumé:
Watertown.
Banlieue de Boston, novembre 2013. Un retraité sans
histoire est retrouvé dans son pick-up sauvagement
assassiné. L’enquête est confiée au
shérif McCarthy, pugnace, humaniste,
déterminé. Au même moment, Franck, jeune
détective dandy, décadent et cocaïnomane,
double sombre du shérif, mène l’enquête
en parallèle, parcourant la ville en quête de
sensations nouvelles. Un
mafieux de renom, un jeune musicien ambitieux, un romancier
vulgaire, des flics besogneux ainsi que tous les autres, les
« largués », les « paumés »
sont mis en scène et embrasent cette fresque sans
concession d’une Amérique hantée par la crise
des subprimes. Le
ton est vif, le style léché. À mi-chemin entre
le roman social et le thriller,
Trois gouttes de sang et un nuage de coke laisse
le lecteur sans voix. «
A 25 ans, Quentin Mouron est l’une des
révélations de la littérature francophone. Son
dernier ouvrage est un anti-polar déjanté et
formidablement stylé. Un exercice d’écriture
qui jongle avec les codes du genre [...] Un jeune homme en
noir qui dégaine vite et voit loin. » HUFFINGTON
POST «
Polar : une nouvelle étoile suisse. » LIVRES
HEBDO «
Si vous craquez pour les esthètes maléfiques, vous
serez ravi de vous faire du Mouron. » PARIS MATCH «
[Un] pastiche décadent, réjouissant au possible
dès qu’il est pris comme tel. » LE POINT «
Sous une apparence de thriller, Quentin Mouron situe ce
désastre dans un Boston crépusculaire, partagé
entre fêtes pour happy few défoncés et
banlieues déclassées [...] Bourré
d’aphorismes, de digressions [...], le livre [...]
surmonte l’écueil du nihilisme matois que
l’on pouvait redouter. Il y est question, tout à
la fin, du plaisir de faire des calembours et de belles
rencontres. » MARIANNE «
Le talent n’attend pas le nombre des années [...]
Ce roman se lit d’une traite, sans reprendre son
souffle. Et quand arrive la dernière page, la
dernière scène, la dernière phrase, le dernier
mot, on se dit : ça c’est du grand roman noir !
» METRONEWS «
Trois gouttes de sang et un nuage de coke”
s‘inscrit dans la tradition américaine du roman
social à vif et désabusé [...] Gonflé,
lettré, troublant, [le roman] se lit d’une traite
et dépose sur la mémoire comme un
arrière-goût âcre, tenace. Comme une nuit
blanche qui vire au noir. » LE TEMPS (Suisse) «
Le quatrième bouquin du prodige romand Quentin Mouron.
» LE MATIN (Suisse) «
Meurtre, dope et plongée dans le mal [...] Un polar qui
défie les lois du genre....